Ce mardi, l’Américain Trump comptabilisera 50 jours au pouvoir. Il a déjà tenu un discours fleuve a tenu semaine face au Congrès.
Ce dimanche, Ursula Von Der Leyen s’est livrée à un exercice équivalent, mais face à la presse européenne et pour les 100 jours de sa Commission.
Une conférence de presse ? Un dimanche après-midi ? La presse le reconnaît, ça n’est pas fréquent. Et pour le journaliste chargé de le couvrir, pas des plus agréables. D’autant que la date « anniversaire » officielle n’est même pas atteinte.
Est-ce un moyen d’occuper le terrain ? Une forme de provocation ? Ou peut-être, souffle Le Monde, une petite vengeance ? Début de semaine dernière, plusieurs journalistes qui suivent les affaires européennes, se sont plaints du peu de cas que la Présidente fait de la presse. Les inviter un dimanche pourrait être une forme de réponse.